Rapport : AG672019-FX34
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Auteur : Lascap Ertîamel
2. Propriétés des CP La trame de l'Univers peut varier. Selon le niveau d'énergie local, les Cellules de Planck peuvent se 'multiplier' si le niveau d'énergie augmente, ou 'fusionner' si le niveau d'énergie diminue. Cette variation est représentée par le taux de création (TCR). Un taux positif correspond à une création de CP. Un taux négatif correspond à une fusion de CP. Le système CP est un système de mesure compatible avec le système classique. La vitesse du système classique est exprimée par un taux de transition dans le système CP. La vitesse du système classique correspond à dans le système CP. Le temps du système classique correspond au nombre de transitions multiplié par le temps de Planck . La distance du système classique correspond au nombre de transitions multiplié par la longueur de Planck . 2.1 Harmonisation d'énergie, scission, fusion Chaque CP aurait son niveau d'énergie. Ce niveau serait impossible à mesurer directement car derrière le mur de Planck. Mais la densité locale d'énergie des CP devrait rester constante. Pour satisfaire à ce principe, les CP se scinderaient pour conserver cette densité d'énergie à un niveau constant. A l'inverse, lorsque le niveau d'énergie chuterait, il y aurait fusion entre CP afin de conserver la densité locale d'énergie à un niveau constant. Si des mesures sont effectuée avant et après la scission, alors l'effet mesuré correspondrait à une expansion de la trame de l'Univers (cf. Figure 2.1). Et inversement, si des mesures sont effectuées après la scission, elles indiqueraient une réduction la trame de l'Univers. La comparaison des mesures
avant et après scission ferait apparaître une
expansion de l'espace temps sur la zone de mesure où
les CP se seraient scindées.
2.2 Scission et fusion L'hypothèse du modèle CP est qu'avec l'augmentation du niveau local d'énergie des CP, il y aurait scission afin de maintenir localement une densité d'énergie constante. Et inversement, avec une diminution du niveau d'énergie, il y aurait fusion. De cette hypothèse, découlerait qu'une agrégation de matière augmenterait le niveau local d'énergie dans la trame des CP. Le niveau d'énergie entre les CP tendrait à s'harmoniser par la création ou la fusion de CP. Cette concentration d'énergie amènerait la création de CP. Cette création déformerait l'espace-temps et le creuserait. Ce qui entrainerait, localement, une perception de l'augmentation des distances. A la périphérie de la zone de création des CP, les distances ne changeraient pas. Du point de vue de l'extérieur de la zone de création (sphère), un observateur, s'il ne dispose pas des deux mesures, il ne pourrait pas identifier la déformation de la zone. Il ne constaterait qu'un alongement des distances. Depuis la zone de déformation, un observateur ne
mesurerait qu'un acroissement des distances dans toutes les
directions. Cet accroissement serait équivalent au rayon
de la sphère si l'observateur est au centre. 2.3 Taux de transition et taux de création De l'espace et du temps A l'échelle des CP et dans le système des CP, il n'y a pas de distinction entre espace et temps. Ces deux notions disparaissent. Ces notions ne réapparaissent qu'à notre échelle lors des processus de mesures. Ce principe est relativement proche de qu'explique la théorie de la gravitation quantique à boucles où le temps et les distances disparaissent des équations. Elles sont remplacées par des réseaux de Spins. Ce dossier ne rentre pas dans l'explication de la provenance des propriétés de temps et de distance des CP. Il part du postulat que ces notions surviennent lors des mesures.
Taux de transition Dans le modèle CP, il n'y a pas directement de notion de vitesse. Donc, il n'y a pas directement de notions de distance et de temps. Ces deux notions sont observées lors des mesures. Le temps et la distance proviennent de la transformation du nombre de transitions en distance et en temps. Le rapport entre les deux donne la vitesse maximale : . La comparaison entre une 'vitesse' et la vitesse maximale revient à exprimer les vitesse par rapport à celle de la lumière. Menons l'expérience suivante : Un observateur mesure le trajet de deux objets qui arrivent à destination simultanément (du point de vue de l'observateur). Dans l'expérience, les points de départ des deux objets ne sont pas à la même distance de leur destination (cf. Figure 2.2). Le constat fait par l'observateur est qu'un objet couvre une distance 2 fois plus réduite que l'autre objet sur une même durée. Il en déduit que la vitesse de cet objet est de 0,5 fois la vitesse de l'autre objet. Dans le modèle des Cellules de Planck, on en déduirait que l'objet le moins rapide a un taux de transition de 0,5 fois celui de l'objet le plus rapide. La vitesse la plus rapide dans le système CP correspond à un taux de transition égale à 1. Un tel taux représente la vitesse de la lumière . Cette vitesse sert d'étalon au Taux de transition. Elle correspond au rapport des caractéristiques des CP. Toute vitesse dans le système CP s'exprime selon (avec le taux de transition de ). Le exprime le taux de transition d'un objet comparé au taux de transition de la lumière.
Taux de création Dans le modèle CP, lors d'un apport d'énergiecelle-ci est absorbée au travers de la scission des CP afin de conserver localement une densité volumique d'énergie constante. L'énergie se répartissant sur le volume des CP nouvellement créé et des CP existantes. Le rythme de cette création serait représenté par le taux de création (noté ). Un taux à 0 indique une absence de création. Un taux à 1 indique qu'il y a création d'1 CP pour 1 CP. Un taux négatif indique une destruction de CP. Contrairement au taux de transition, peut être supérieur à 1. Avec l'équation 2.3 (cf. EC. 3 en annexes), nous déterminons la la variation de la densité d'énergie () d'une sphère S de rayon r. Selon le principe des CP, cette variation de densité amène la création de CP afin de maintenir la densité volumique locale d'énergie D quasi constante (quasi constante car le quanta d'action minimal et h). L'équation 2.7 (cf. EC. 4 en annexes), détermine la variation du rayon () de la sphère pour maintenir la densité volumique locale d'énergie constante. L'équation 2.8 (cf. EC. 4 en annexes), détermine le taux de création () lié à la variation d'énergie de la sphère S pour conserver une densité volumique locale d'énergie constante.
A noter qu'à l'échelle de 1 CP le ne peut être inférieur à h (constante de Planck). A grande échelle, nous pouvons approcher le modèle discret par un modèle continu. La précision des calculs étant bien plus faible que la valeur de h. De ce développement, nous en déduisons, que plus nous nous éloignons du centre de la sphère et plus le taux de création diminue. C'est ce que nous enseigne la dérivée de l'équation 2.8 qui est de la forme : avec . La figure 2.4 montre la projection en 2 dimensions de la sphère et de la variation de la 'densité' du nombre de CP. Depuis le centre de la sphère les mesures en nombre de transitions montrent un accroissement des dimensions de la sphère (dues à la céation de CP selon l'équation 2.8). Par contre, les mêmes mesures effectuées en dehors de la surface de la sphère (graduation au dessus du cercle) montrent des distances plus faibles du fait du nombre de transitions moindre. Nous verrons, plus loin dans le dossier, le lien qui existe
entre cette 'densification' et la gravitation. 2.4 Unités de mesures et de conversions entre modèle CP et modèle Standard Dans le modèle CP :
Dans le modèle standard :
Les tableaux suivants indiquent les convertions entre les unités des différents systèmes (Tableau 2.1) et les conversions des différents types de calculs (Tableau 2.2).
Après avoir indiqué les transformations entre les principaux concepts, il faut déterminer les conversions à effectuer lors des calculs. Table des matières :
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